Actualités

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L'ascidie rouge

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir l'ascidie rouge. C'est une ascidie solitaire (non-coloniale) faisant partie des Tuniciers. Contrairement à celle d'autres espèces, son enveloppe externe, appelée "tunique", est nue et très propre (dépourvue d'organismesfixés).


Partagez vos observations de l'ascidie dans l'Action BioLit « Les Saisons de la Mer ».

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.
 

Focus sur...

La vélelle

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir la vélelle, un organisme plutôt insolite.

Il s'agit d'un hydrozoaire : une colonie flottante constituée de petits individus appelés polypes, portés par un disque cartilagineux bleu foncé, surmonté d'une voile rigide et transparente.


Vos observations nous aideront à mieux connaître lafréquence, les périodes et les zones d'échouages. Partagez-les dans l'Action BioLit « Les Saisons de la Mer ».

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.
 

La découverte des hermelles marseillaises revient dans les débats médiatiques

Vigie Nature revient sur les enjeux de l'observation des hermelles dans BioLit

Bientôt un an après la découverte d’une colonie d’hermelles (Sabellaria alveolata) par deux BioLitiens lors d’une sortie en bord de mer, le sujet reste bouillonnant.

 

En octobre 2021, le site internet du programme de sciences participatives Vigie Nature publie un article revenant sur cette observation et sur son impact. Relevant qu’il s’agit d’une découverte « tout à fait exceptionnelle », l’article souligne l’importance scientifique des actions des BioLitiens.

 

Les sciences participatives, un véritable outil pour la recherche

Les sciences participatives offrent à la recherche un outil de travail nécessaire à certains égards dans la mise en place d’une perception plus juste des systèmes complexes. Ceci s’observe particulièrement dans le cadre de la compréhension des écosystèmes. Gilles Bœuf, professeur en biologie à l’Université Pierre et Marie Curie, à la Sorbonne Université et ancien président du Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris (2009-2015) écrit en 2013 : « La « participation » au sens large permet aux scientifiques d’accéder à des données non démonstratives, car pas suffisamment denses et nombreuses, sans une couverture très étoffée des territoires ou des saisons (« ils » sont partout et tout le temps !) » (Bœuf, 2013). Aujourd’hui, c’est grâce à cet engagement, quotidien, des citoyens que le déploiement de nouveaux travaux de recherche est rendu possible.

 

L’observation des hermelles en novembre 2020 a permis de prolonger le dialogue entre les actions des BioLitiens et les institutions de recherche nationales. Les données recueillies ont été transmises aux équipes de l’IFREMER travaillant sur cette espèce. Elles ont une valeur notoire dans le développement du programme de recherche sur les hermelles notamment par la singularité géographique du lieu d’observation de l’espèce lors de l’expédition des BioLitiens (bassin marseillais). Nous parlons plus en détail des enjeux et des spécificités de cette découverte dans une actualité publiée en décembre 2020.

 

Un essor médiatique encourageant

La reprise de ces observations dans un article sur Vigie Nature reflète une réalité : les données collectées par les sciences participatives s’inscrivent dans des problématiques de recherche pérennes. La conclusion de l’article met en évidence l’aspect prometteur de cette observation et l’enjeu de l’implication des BioLitiens : « La « mission hermelles » ne s’arrête pas pour autant :  pour prendre la mesure de ce retour, tous les observateurs sont invités à faire part de leurs rencontres » (1).

 

La publication de ce nouvel article illustre l’influence de vos observations dans les discussions médiatiques. La contribution de l’ensemble des acteurs de BioLit permet à notre programme de s’inscrire dans de véritables questions d’actualité.

 

Bibliographie

BŒUF, Gilles. Une nouvelle approche pour les sciences : la participation des citoyens. Le développement durable à découvert, 2013, p. 276-277.

 

Rédaction : L. Pergola

 

Fête de la Science, édition 2021

Quoi de mieux pour apprendre, que de participer ?


Dans le cadre de la Fête de la Science, de nombreuses associations et laboratoires de recherche proposent des activités pour faire découvrir le monde de la science. Il est vrai que ce monde peut paraitre complexe, mais c’est lors de telle occasion que vous pouvez vous défaire cette idée reçue. En effet, la science peut même être ludique et s’adresser à tous.

Cette année, Planète Mer  participait à la Fête de la Science en proposant 2 activités différentes, dans 2 endroits différents, au même moment, le samedi 10 octobre !   

D’un côté, la tenue d’un stand par nos supers volontaires du service civique Edith Charrier et Dorian Roulet, dans le village des sciences organisé par les Petits Débrouillards PACA à Marseille (place Bargemon). La tenue du stand de sensibilisation a eu lieu sur toute la journée et a suscité l’attention de plus de 80 personnes. Toutes sont reparties en ayant pu apprendre de divers choses sur la biodiversité du littoral, les différents moyens de l’observer et sur la laisse de mer. L’équipe sur place a aussi joué avec les passants à « Quizz Biodiversité Littorale », le jeu conçu dans le cadre du projet Educalanques en partenariat avec le Parc national des Calanques.

De l’autre, à St-Malo sur la plage de la pointe de la Varde, Tristan Diméglio, le chargé de mission scientifique et technique sur BioLit a encadré une sortie pleine de vie sur le littoral avec 8 participants ! Des observations de congre, hermelles et étrilles, pour en citer un échantillon, ont pu être effectuées. Les riches échanges ont permis d’aborder les stratégies d’adaptation mise en place par les espèces marines aux conditions des marées et sur la question des espèces exotiques envahissantes.

De cette manière, toute personne sensible aux sujets de l’environnement peut apporter sa pierre à l’édifice avec de petits gestes (photo, commentaire, proposition d’identification...). C’est ce que l’on appelle de la science participative et c’est ce que propose BioLit. En continuant sur cette voie, nous avons un moyen efficace de récolter de multiples données, qui seront ensuite traitées pour servir d’argument afin de préserver nos milieux naturels. Et qui sait, peut-être que vous serez la prochaine personne à découvrir un des nombreux secrets que nous réserve la nature...

 

Pour nous aider à suivre l’évolution de la biodiversité du littoral, laisser vous guider juste ici !

 

La vie sur l’estran rocheux

Algues et mollusques : comment ces espèces se répartissent sur les côtes rocheuses ?

Les estrans rocheux de la Manche et de l’Atlantique sont soumis au phénomène des marées. Ces habitats rocheux se situant à l’interface terre-mer, présente une diversité d’organismes vivants, facilement observable lorsque la mer se retire. Cette zone de balancement des marées, est un environnement particulier, soumis à différents stress (la houle, la luminosité, la température etc.) qui contraignent la présence des espèces qui colonisent ce milieu.

 

Les côtes rocheuses de la façade Atlantique Manche Mer du Nord sont soumises au balancement des marées, laissant une partie plus ou moins importante du littoral découverte à marée basse. Les organismes marins vivants dans l’estran doivent donc s’adapter pour survivre à ce milieu changeant, paraissant hostile aux premiers abords. Pourtant l’estran rocheux est un environnement riche en biodiversité, permettant à de nombreuses espèces de se développer et de se nourrir. Les espèces présentent dans cette zone de balancement des marées, doivent supporter ces changements environnementaux régis par la marée. Cette variabilité environnementale contraint le développement de certaines espèces et conditionne la répartition des êtres vivants des littoraux marins.

 

Des ceintures d’algues

Les roches du bord de mer sont colonisées par différentes espèces d’algues. Ces végétaux marins, dépourvus de racines, s’accrochent à la roche par des sortes de crampons et tirent de l’eau de mer, tous les éléments nutritifs nécessaires à leur développement.  En observant de plus près, ces algues se répartissent en étages parallèles aux différentes hauteurs de marée. Cette répartition traduit la capacité des différentes espèces d’algues à supporter les changements environnementaux induit par le phénomène des marées.

Certaines algues, tel que la pelvétie, vont préférer couvrir le haut de l’estran, et en conséquent seront moins immergées. Cette algue brune, s’est adaptée aux longues périodes hors de l’eau et ne survivrait pas à rester longtemps immergé.  A contrario, la ceinture d’algues située au plus bas de l’estran, est constituée majoritairement par le fucus dentelé et est presque toujours immergée. Les cellules de cette algue tolèrent la perte d’eau et les variations de salinité grâce à plusieurs processus physiologiques qu’elle a su mettre en place (1).

Les algues brunes sont conditionnées et se répartissent par leur aptitude à résister à la sécheresse du milieu, aux variations de température, ou encore aux variations de salinité (3). Ces grandes algues fournissent une quantité de nourriture importante tout en jouant un rôle essentiel dans le développement de certaines espèces qu’elles abritent. C’est le cas notamment de certains gastéropodes, ces petits escargots de mer fixés ou peu mobiles, qui vivent dessus. Les algues conservent l’humidité à marée basse, et protègent ainsi leurs petits résidants du desséchement (1).

Ces ceintures algales structurent de façon verticale nos côtes rocheuses en indiquant le niveau de l’estran. Les ceintures algales sont de vrais habitats pour ces mollusques et chaque espèce à une préférence !

 

La répartition des mollusques sur l’estran

Les mollusques se répartissent eux aussi en fonction des conditions liées à la marée. Cependant il existe pour chaque espèce de mollusque une association avec une ou plusieurs ceintures d’algues caractérisant le niveau de l’estran. Les algues sont à la fois une source d’alimentation et de protection contre la prédation pour les mollusques ; mais elles permettent aussi la diminution des stress environnementaux (variations de températures, de salinité et d’humidité) qui pourraient affecter la vie de ces escargots de mer (3).

Certains mollusques vont préférer se développer seulement sur un type de ceinture algale. C’est le cas des littorines bleues qui sont essentiellement retrouvées en haut de l’estran sur la pelvétie. A l’opposé, le calliostome privilégie le bas de l’estran avec le fucus dentelé.

Le haut et les bas de l’estran abritent des espèces de mollusques totalement différentes l’une de l’autre, ce sont deux habitats distincts ! Pour respirer dans ces habitats, ces deux mollusques ont des caractéristiques physiologiques différentes. Par exemple, la littorine bleue respire grâce à une ébauche de poumon alors que le calliostome est pourvu de branchies (1).

D’autres espèces de mollusques colonisent plusieurs ceintures d’algues, notamment celles se trouvant au milieu de l’estran. Les patelles, moules et balanes cohabitent au même niveau de l’estran que les fucus spiralés et vésiculeux. Les gibbules et pourpres vivent sur ces espèces végétales mais sont aussi répandues sur l’ascophylle noueux, qui est retrouvé au milieu des estrans abrités de la houle. Les littorines fabalis et obtusata, sont également observées sur plusieurs espèces d’algues du milieu de l’estran rocheux mais aussi tout en bas de celui-ci, proche de la zone continuellement recouverte.

 

Des algues et des mollusques en étages, la zonation verticale

Les côtes rocheuses se situent à l’intermédiaire des environnements terrestres et marins. Au sein de cette zone, l’alternance des marées induit un gradient de stress environnemental, déterminant la distribution des organismes vivants du haut vers le bas de l’estran. C’est le cas pour les espèces d’algues qui se répartissent suivant leurs aptitudes à résister aux variations environnementales. Les mollusques s’organisent aussi de façon graduelle sur l’estran et sont associés à des ceintures algales. Les extrémités sont spécifiques d’une espèce de mollusques alors que le centre de l’estran est plus diversifié. Cette distribution des organismes vivants sur l’estran est appelée zonation verticale (2).

 

Bibliographie :

(1) Lallier, Francois, et André Toulmond. « La vie d’une marée à l’autre », Pour la Science, no 346 (30 novembre 1999). Consulter ici.

(2) Chappuis, Eglantine, Marc Terradas, Maria Elena Cefalì, Simone Mariani, et Enric Ballesteros. « Vertical Zonation Is the Main Distribution Pattern of Littoral Assemblages on Rocky Shores at a Regional Scale ». Estuarine, Coastal and Shelf Science 147 (juin 2014): 113‑22. https://doi.org/10.1016/j.ecss.2014.05.031. Consulter ici

(3) Morgana Tagliarolo. Adaptations métaboliques des organismes dans la zone de balancement des marées : implications sur la biodiversité locale dans un contexte de changement climatique. Sciences agricoles. Université de Bretagne occidentale - Brest, 2012. Français. ffNNT : 2012BRES0046ff. fftel00816887v2f. Consulter ici.

 

 

Pour aller plus loin :

Pour en savoir davantage sur les habitats du littoral et l’estran rocheux :

https://www.biolit.fr/sites/default/files/biolitheque/BioLit_Junior_fiches_habitats.pdf

Pour découvrir et connaître la diversité des algues brunes et mollusques de la façade Atlantique Manche :

https://www.biolit.fr/sites/default/files/biolitheque/2018identificationbiolitabb.pdf

 

Rédaction : B. Siegrist

Crédit photo : Tristan Diméglio

Retour sur les sorties BioLit de septembre organisées par Planète Mer

Au coeur du Parc national des Calanques 


A l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine 2021, Planète Mer a organisé une sortie à la découverte du patrimoine naturel des Calanques. Pendant cette sortie, l’accent a été mis sur la laisse de mer, cette partie du littoral souvent mal connue mais qui pourtant est particulièrement complexe et riche en biodiversité. Les participants étaient particulièrement motivés et réceptifs ce qui a donné lieu à de multiples échanges intergénérationnels très intéressants et constructifs. Ce fut un joli moment de partage ! Vous pouvez retrouver les espèces observées pendant cette sortie en photos juste ici ! 

Quelques jours plus tard, Planète Mer et le Parc national des Calanques donnaient rendez-vous à un petit groupe sur l’île du Frioul. L’objectif était de découvrir les espèces marines et littorales de Méditerranée. La matinée fut riche d’enseignement pour les participants qui ont également pu profiter de précieuses informations sur l’histoire du Parc et sur les espèces terrestres qui y vivent grâce aux deux éco-gardes qui nous accompagnaient. Vous êtes curieux de voir les observations effectuées ce jour-là ? Il vous suffit de cliquer ici

Agenda BioLit Octobre 2021

Toutes les activités près de chez vous !

  Avec l'AGENDA BIOLIT, vous retrouverez toutes les activités BioLit du mois organisées près de chez vous !

  Plus d'information sur les activités BioLit d'octobre 2021 dans l'Agenda.

Focus sur...

Le fucus


Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir le fucus, une algue brune vivant sur les estrans rocheux, dans les zones subissant des marées de forte amplitude. 

Sur le littoral rocheux, les fucus sont parmi les algues les plus communes, les plus abondantes et les plus fréquemment retrouvées échouées dans la laisse de mer. 
Vos observations permettront d'accroître les connaissances sur le cycle de vie et la période de reproduction de cette algue. Partagez-les dans l’Action BioLit « Les Saisons de la Mer ».

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.
 
Fichier joint: 

Focus sur...

La banquette de posidonies 


Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir la banquette de posidonies, une accumulation de feuilles mortes de posidonies ramenées par le vent et le courant sur le bord de mer.

Peu appréciées des baigneurs, les banquettes de posidonies sont pourtant emblématiques des plages de Méditerranée.
Vos observations des banquettes et des espèces que l'on y trouve renseigneront les scientifiques sur l'état de santé des plages et des herbiers de posidonies en Méditerranée. Partagez-les dans l'Action BioLit " Les Saisons de la Mer ".

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.

 

BioLit et l'association Hatoup

A la découverte des espèces marines et littorales du Parc national des Calanques 


La matinée du samedi 11 septembre 2021 a été riche en découverte pour les enfants de l'association Hatoup. Dans le cadre du projet "Educalanques" porté par le Parc national des Calanques, Planète Mer les a initiés à la découverte de la biodiversité littorale. 

Les enfants ont été amenés à se questionner sur les notions de "littoral" et de "laisse de mer" : qu'est-ce que le littoral, qu'est-ce que la laisse de mer, pourquoi est-elle importante sur les plages ? Ils ont ainsi pris conscience du rôle écologique fondamental de la laisse de mer et des nombreux indices qu'elle donne sur les espèces présentes dans l'eau. 

Des observations sur les différentes espèces échouées dans la laisse de mer ont été réalisées, puis les enfants ont approfondi leurs connaissances des espèces marines de Méditerranée avec le Quizz Biodiversité Littorale.

Les espèces observées pendant cette sortie ont été photographiées et les photos ont été partagées sur le site internet (www.biolit.fr) du programme national de sciences participatives BioLit. Les photos sont disponibles juste ici !

Focus sur...

La littorine bleue

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir la littorine bleue, un petit gastéropode caractéristique du supralittoral.

Elle est localement abondante dans les endroits humides bien exposés aux embruns, d'autant plus lorsque les eaux littorales sont très agitées. Vos observations permettront d'enrichir les connaissances sur cette espèce. Partagez-les dans l'Action " A Vos Observations ".

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.

 

Focus sur...

Les herbiers marins

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir les herbiers marins véritables pairies sous-marines.

Les herbiers abritent une biodiversité très riche ! Vos observations sont précieuses pour mieux comprendre la relation espèce-habitat. Partagez-les dans l’Action BioLit « A Vos Observations ».

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.

 

Agenda BioLit Septembre 2021

Toutes les activités près de chez vous !

  Avec l'AGENDA BIOLIT, vous retrouverez toutes les activités BioLit du mois organisées près de chez vous !

  Plus d'information sur les activités BioLit de de septembre 2021 dans l'Agenda.

Focus sur...

L'argonaute

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir l'argonaute ! L'argonaute est un mollusque céphalopode vivant en haute mer. Il s'agit d'un petit poulpe niché dans une coquille blanche très fine et cassante appelée "nacelle".

C'est au printemps et en été,après une période de fort vent, qu'on peut observer des échouages de nacelles vides,abandonnées par les femelles, dans la laisse de mer. Vos observations sont précieuses pour mieux connaître le cycle de vie de cet animal. Partagez-les dans l'Action BioLit Les Saisons de la Mer.

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.
 

Focus sur...

Le lièvre de mer

Ce mois-ci Planète Mer vous invite à découvrir le lièvre de mer ! Le lièvre de mer est un mollusque gastéropode. Il possède une coquille interne très mince, fragile et transparente.Il vit et se déplace à faible profondeur sur les fonds couverts d'algues ou de plantes sous-marines.

Le lièvre de mer se reproduit entre juillet etoctobre et vient déposer ses oeufs près du rivage. Vos observationspermettront de mieux connaître les zones etles périodes de ponte de cette espèce.Partagez-les dans l'Action BioLit Les Saisons de la Mer ».

Vous trouverez plus d'informations dans la pièce-jointe.